Lore d'Aris
Actuellement, Asgard est en plein conflit depuis le désastre des fragments de destruction, les monstres sont enragés et dévastes tout sur leur passage. Face à ce fléau, Aris tient une discussion mouvementée avec un haut placé du Pentagone. Elle est en colère par le fait que malgré que sa guilde soit en charge de l'avant-garde, elle n'a pas été informée que celle-ci avait fait parvenir une requête de renfort. L'homme lui rétorque que ses troupes sont vouées à l'abandon car le soutien demandé est nécessaire à un autre endroit. Aris n'a pas l'intention de rester assise et laisser ses hommes mourir au combat. Elle quitte alors le siège d'ordre du Pentagone pour sauver son escouade, action qui n'est pas au goût des commandants qui la préfère en défense au sein du quartier général et la menace donc d'une sentence à son retour pour sédition, laissant un terrible froid entre elle et l'alliance.
Suite à l'anéantissement des monstres, Aris demeure courtoise face à la beauté de la première commandante de la couronne révolutionnaire, Kyrielle, et explique calmement la situation qu'on dû subir ses hommes. Kyrielle ne parvient pas à exprimer de politesse et se retrouve gêner face à sa première rencontre avec Aris. Lorsqu'elles se serrent la main et qu'Aris lui en attrape une délicatement, la commandante devient mal à l'aise et se retire aussitôt, ayant un peu de mal avec ce genre de contact physique. Aris lui propose de remettre ça à quand elles auront un peu de temps toutes les deux, puis revient sur le sujet où elle déviera aussitôt le blâme sur l'arrivée tardive d'Aragon. Ce dernier s'excuse et propose de la guider vers le palais afin de rencontrer la reine Elysia, qui semble contente lorsqu'Aris surnomme Aragon d'ennuyant, à cause de sa grotesque décision stratégique. Aris anticipera de nombreuses rencontres avec la reine pour l'avenir, ayant de nombreux objectifs en commun ainsi qu'une façon de penser qui lui correspond. Au fil du temps, elle remarquera qu'elle apprécie d'avantage ce groupe que son morne Pentagone.
A suivre..
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire